• Après une matinée de cogitation et concertation (entrecoupée par une baignade agréable à la plage), nous avons décidé de notre prochaine destination : nous quittons les îles Pour la Grèce continentale.

    Le circuit dans les îles des cyclades est donc fini ; il aura duré du 19 mai au 17 juin. Santorin, Ios, Naxos, Paros, Antiparos, Mykonos, Delos (ou Dilos), Tinos et Andros .

    Aujourd'hui, pas grand-chose à dire, donc pas beaucoup de photos, mais rassurez vous, Hervé va quand même vous en trouver !!!! Il insiste pour celle du phare de Tourlitis dans le port de la ville principale (Le phare avait été détruit en partie par les allemands, il a été restauré en 1994 et il est beaucoup photographié),  et celles des deux fresques dans un restaurant de Batsi. Elles sont assez typiques, même si elles ont 25 ans.

    Santorin mardi 19 mai

     


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  • Nous avons pris le  "Fast Ferry" de 15 H 45 au  port de Gavrio (Andros)  pour une traversée de 2 heures en direction de Rafina par une mer d'huile ; Rafina est le deuxième port d’Athènes et est situé à l’est ; c'est un port sans intérêt. Il y a des bus pour relier soit Athènes centre, soit l'aéroport de Spata.

    Nous avons réservé une chambre d’hôtel pour la nuit à Mati (quartier résidentiel sans grand cachet mais calme à 4 km de Rafina  en bord de mer) et comptons demain louer une voiture pour environ deux semaines. Quel sera notre circuit ? Là encore, pour l'instant, c’est l’inconnu…

    Rafina Mercredi 17 juin

     

     

     

     hôtel Miami à Mati

     

     

     

    Santorin mardi 19 mai


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  • Finalement, nous sommes restés sur Athènes, enfin sur Mati (une heure trente de trajet taxi + bus jusqu’au centre d’Athènes).

    La Grèce ressemble à la Bretagne : quand il pleut, la pluie ne tombe que sur les cons ! Ce matin, à peine le bus démarré un gros orage a éclaté, la pluie a duré tout le trajet puis s’est arrêtée pour nous permettre de marcher sans nous faire mouiller. Comme vous avez pu le remarquer ce n’est pas la première fois que cela nous arrive, rassurant non ?

    L’orage a bien rafraîchi l’atmosphère, la température était très agréable pour marcher, de plus les rues sont ombragées.

    Nous sommes donc allés en repérage, avons vu l’extérieur et le sous sol du Musée archéologique, avons arpenté les rues commerçantes du quartier de Plaka, avons grimpé jusqu’au pied de l’Acropole, avons eu une vue sur l’Agora et sur une partie d’Athènes, sommes redescendus en faisant le tour complet de la colline de l’acropole jusqu’au Temple de Zeus et l’arche d’Hadrien (ou porte d’Athènes).

    Balade de cinq heures qui ne nous a pas permis, loin de là, de voir tous les sites, ni de visiter quoi que ce soit (il nous fallait bien rentrer pour vous écrire !), sauf deux ou trois églises . Ce n’est que partie remise ; dans une dizaine de jours ou lors d’un autre voyage ?

    Passage par hasard dans une grande halle de boucherie (si les prix indiqués sont au kilo, la viande ne paraît pas très chère).

    Les quartiers juste au nord de l’Acropole et jusqu’à Omonia, sont faits de petites rues anciennes au plan non rectiligne et de montées par escalier quand on approche l’Acropole ; c’est sympa, pas mal de bâtiments intéressants, des petits commerces, mais pas tous pour touristes.

    Le sud / sud-ouest de l’Acropole c’est une grande zone verte boisée parsemée d’un côté de belles ruines ou anciennes construction rénovées. Cela tranche avec les rues embouteillées ; on se croirait hors de la ville.

    Santorin mardi 19 mai

     


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  • Premier loupé de mon Gentil Organisateur !

    Il avait pourtant passé des heures devant son ordinateur pour comparer les prix proposés par les différents loueurs de voitures (mais sans réserver). Son choix fait, nous nous sommes rendus en bus à l’aéroport pour louer un véhicule pour poursuivre notre périple. Surprise ! le loueur sélectionné nous annonce qu’il n’y a pas de voitures disponibles ce week-end. Les trois autres loueurs de l’aéroport nous répondent la même chose.

    Grâce au Wifi de l’aéroport mon G.O. se réinstalle devant son ordi, réserve en ligne sans problème chez le premier loueur, retourne au comptoir, on lui dit que la voiture sera là à 15 H (il est environ 13 H, donc nous prenons notre mal en patience, mon G.O. en profite pour chercher un hôtel pour ce soir et moi je dis merci à Candy Crush de m’aider à passer le temps). A 15 H, retour au comptoir : pas de voiture, erreur d’internet !

    Où coucherons nous ce soir ? retour sur internet, mon G.O. téléphone à d’autres loueurs qui ne se trouvent pas à l’aéroport même. BINGO ! l’un d’eux nous déniche sa seule voiture disponible, une Ford Fiesta et nous l’amène à l’aéroport. Hervé confirme la réservation de l’hôtel à Delphes, il est 16 H 30, nous partons.

    Delphes est à 200km, un peu d’autoroute vers l’ouest puis une route (rouge sur la carte) pleine de trous sur une cinquantaine de km avant de rouler sur une route de montagne large et en bon état. Nous traversons des vallées, passons des cols, des tunnels et grimpons petit à petit vers des stations de ski du massif du Mont Parnasse avant d’arriver à Delphes un peu avant 20 H. Petit tour à pied dans le village et repas de brochettes.

    Moralité : vous n’aurez que peu de photos aujourd’hui, nous nous rattraperons demain !

    Santorin mardi 19 mai

     


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  • Au programme : le site archéologique de Delphes et le musée accolé accessibles à pied depuis l’hôtel (rare pour nous de loger à 1 km de ce qu’on veut visiter).

    Cela nous a demandé plus de 6 heures de balade au milieu des ruines. Balade agréable car les arbres présents sur le site nous procuraient une ombre fort bien venue lors de notre montée jusqu’au stade.

    Beaucoup de ruines, là encore difficile de s’imaginer tous ces monuments intacts et surtout de réaliser que tous n’étaient pas debout en même temps, ayant été construits à des périodes différentes.

    La visite du musée est indispensable, toutes les statues, fresques, sculptures, offrandes trouvées sur le site y sont regroupées.

    Nous avons terminé notre journée, en prenant la voiture pour aller à 10 km au village de Arahova, petite station de ski dont les spécialités sont les tapis de laine et les hilopites (pâtes plates), les magasins vendent aussi d’immenses plaques rondes en bois qui servent paraît-il à étaler la pâte pour faire ces hilopites.

    Santorin mardi 19 mai

     


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