• Athènes dimanche 28 juin

    Voilà, nous avons quitté le Péloponnèse !

    En franchissant par la largeur le canal de Corinthe long de 6 km.

    Nous l’avons dans un premier temps franchi à pied en deux endroits.

    Sur le pont situé à peu près au milieu du  canal, nous avons eu la chance de voir deux bateaux passer. Ils passent environ 50 m plus bas !

    Puis quelques km plus loin, à l’entrée sud du canal, là encore deux bateaux sont passés puis un pont routier est sorti de l’eau (pont coulant) permettant aux voitures de passer. Il y a le même pont à l’entrée nord.

    (Petite vidéo sur le Tara : https://www.youtube.com/watch?t=71&v=F4w0u7kHztM )

    Nous voici maintenant installés au Pirée, nous avons laissé les bagages à l’hôtel, avons rendu la voiture de location à l’aéroport, fait la queue devant un distributeur d’argent pour retirer assez d’espèces, nous l’espérons, pour la fin de notre séjour, ( tout le monde attend les résultats du référendum ce soir) puis avons rejoint Athènes en bus.

    Arrivés à 18 H à Athènes, nous avons eu juste le temps de visiter l’Acropole dont nous avions fait le tour extérieur la semaine précédente. Les monuments sont imposants, mais en plein chantier de restauration, donc encore des grues et des échafaudages, plein de stock de pierres, c’est moche pour les photos !  En plus, j’ai du mal avec ces monuments composés à moitié de pierres et colonnes de l’époque et à moitié de blocs de marbre ou de béton beaucoup plus récents. C’est vrai qu’il faut bien faire quelque chose pour consolider ce qui est encore debout et pour montrer à quoi ressemblaient les monuments dont on voit les vestiges par terre. Quelle est la solution ?  Par contre, devant  l’Erechtion, les Cariatides sont des copies, (les originales sont dans le musée de l’Acropole et une au british museum), mais on ne le voit pas.

    Aujourd’hui encore, nous n’avons pas eu à nous plaindre du temps, durant les moments chauds de la journée, nous étions en voiture, en fin d’après midi, le temps s’est couvert, quelques gouttes de pluie sont tombées pas assez pour nous mouiller mais suffisamment pour rafraîchir l’atmosphère.

    De retour au Pirée par le métro/train de banlieue (digne des rames des années 1970 sans climatisation et bondé), nous nous sommes aperçus qu’il avait dû bien pleuvoir, mais comme en Grèce il ne pleut que sur les cons, nous avons pu parcourir le kilomètre qui nous séparait de l’hôtel sans être mouillés.

    Si nous sommes au grand port du Pirée, c’est parce que demain soir nous prenons le ferry de nuit pour notre dernière destination : Rhodes.

     

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