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    Vendredi 1 juillet

    Nous étions bien décidées à faire du shopping, donc à ne pas nous éloigner de Rhodes, mais il nous fallait quand même notre dose de culture et d’histoire, donc visite obligatoire du Palais des Grands Maîtres superbement rénové de manière néo-médiévale sous l’égide des Italiens pour le roi italien Emmanuel III, puis Mussolini (dont le nom est toujours gravé sur un mur).

    palais des Grands Maîtres

    palais des Grands Maîtres

    palais des Grands Maîtres

     

    Puis visite de la bibliothèque musulmane.

    bibliothèque musulmane

    bibliothèque musulmane

    bibliothèque musulmane

    bibliothèque musulmane

     

    Après déjeuner (assortiment de mezzes) le G.O. nous a laissé quartier libre dans les rues commerçantes, de quoi saupoudrer quelques euros… Epuisant de piétiner par cette chaleur !

    Un bon bain à la plage à côté de l’aquarium arrive à point nommé pour nous rafraîchir avant de rentrer  préparer nos bagages.

    Samedi 2 juillet

    Après avoir rendu les clés de l’appart à 11h, nous sommes allés nous promener dans la vallée des papillons (Pétaloudès). Promenade calme, ombragée au bord de la rivière,  mais bizarre ! il y avait beaucoup moins de papillons que l’année dernière, est-ce parce que nous étions une semaine plus tôt ?

    Vallée des papillons Petaloudès

    Puis nous sommes retournés chez Vassili à Psinthos, le restaurateur ayant vécu 32 ans en Belgique avec lequel nous avions tant discuté l’année dernière ; nous nous en doutions, sa situation ne s’est pas arrangée, pour lui aussi l’espoir d’avant le référendum a disparu … Cela ne l’empêche pas de nous servir de délicieux plats.

    Nous quittons les « montagnes » pour retrouver la fournaise de Koskinou sur la côte Est où nous cherchons une maison traditionnelle que nous finissons par trouver, mais elle est fermée, nous admirons quand même dans le vieux village des porches.

    porches de Koskinou

    Puis, direction Rhodes, il nous reste une petite heure pour nous promener en bord de mer et faire LA photo souvenir avec le cerf et la biche emblème de l’île. Hélas, il nous faut déjà prendre la route de l’aéroport.

    Le cerf et la biche emblème de Rhodes

    La première heure de vol nous a permis de reconnaître des endroits que nous avions visités cette année ou l’année dernière : Soroni, Kos, Ios, Naxos, Paros Mykonos, Paros, Tinos, Andros, Le Pirée, le canal de Corinthe, le pont de Patras … Et de voir d’autres îles à découvrir comme Chalki, Amorgos, Ikaria…

    Et voilà ! Toutes les bonnes choses ont une fin ! Ce n’est pas sans un pincement de cœur que nous quittons ce pays si accueillant. Mais ce n'est qu'un "au-revoir"...

    Kos vue d'avion

    Paros et Naxos vues d'avion

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  • Voici quelques uns des plats dégustés lors de notre séjour avec si possible le nom grec, une description des ingrédients et pourquoi pas une recette expérimentée  depuis mon retour.

     

    Bourekakia fourrés au fromage

    Entrées

    Boureki féta miel sésame

    4 Feuilles de pâte filo

    4 pavés de feta

    3Oeufs

    Huile d'olive

    Quelques graines de sésame grillée

    Poivre

    Miel

     

    1 Préchauffez le four à 180°C. 

    2 Battez les œufs en omelette.

    3 Dépliez les feuilles de pâte filo et badigeonnez-les d'huile d'olive avec un pinceau.

    4 Saupoudrez de graines de sésame grillées et poivrez.

    5 Trempez les pavés de feta dans les œufs. Puis déposez-les au centre de chacune des feuilles de pâte filo.

    6 Repliez les feuilles de pâte autour des morceaux de fromage pour les envelopper entièrement.

    7 Soudez les bords de ces petits paquets avec un peu d'huile d'olive.

    8 Badigeonnez d'œuf battu, saupoudrez de sésame grillé et enfournez 30 minutes.

    9 Coupez chaque pavé suivant la diagonale

    10 Ajoutez un filet de miel avant de servir.

    Entrées

    Dolmades (feuilles de vigne farcies)

    Entrées

    Flogeria: rouleau de pâte filo fourré de fromage et jambon

    Entrées

    Gros haricots à la sauce tomate

    Entrées

    Purée de fèves

    Entrées

    Salade de salicornes

    Entrées

    Salade grecque

    Entrées

    Entrées

     

     

     

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  • Voici quelques uns des plats dégustés lors de notre séjour avec si possible le nom grec, une description des ingrédients et pourquoi pas une recette expérimentée  depuis mon retour.

     

    Agneau mijoté légumes feta passé au gril

    Plats

    Beef stifado: ragoût de boeuf cuisiné au vin rouge, avec des petis oignons, des tomates, des pommes de terre et des épices

    Plats

    Calamars oignons épinards olives

    Plats

    Filet d'agneau de Symi sauce yaourt moutarde et ail

    Plats

    Giaourtlou kebab viande de veau et porc

    Plats

    Imam Bayildi

    Cette recette d’aubergines farcies aux légumes, d’origine ottomane, «imam bayildi» signifie «l’Imam s’évanouit».
    On ne dit pas s’il s’évanouit de plaisir ou si, chez lui, il se pâma devant la quantité d’huile d’olive utilisée pour la recette! (rassurez vous, moi je n'utilise que très peu d'huile)

    • Pour 4 personnes
    •  2 aubergines, lavées, coupées en 2 dans le sens de la longueur, grossièrement épépinées.
    • 1 courgette, 1 poivron, 2 ou 3 tomates coupés en dés.
    • 2 gros oignons coupés en fines rondelles
    • 1 citron
      Huile d’olive
    • 1 cuillère à soupe de miel
    • 1 cuillère à café de cannelle
    • Sel et poivre
    • ail, origan


    • Faire dégorger les aubergines en les immergeant dans un récipient d’eau très salée pendant pendant 30 min. Rincer, essuyer.
    • Faire chauffer l’huile d’olive dans une poêle. Cuire les aubergines 8 à 10 min, jusqu’à ce que leur chair brunisse. Retirer les aubergines, laisser refroidir avant de les creuser en retirant la chair, sans entamer la peau. Couper la chair en dès.
    • Faire suer les oignons dans la poêle huilée. Ajouter les dès d’aubergine, de tomates, de courgettes, de poivron avec l’origan, l’ail, la cannelle et le miel. Laisser mijoter 10 min.
    • Disposer les coques d’aubergines dans un plat allant au four et les garnir de cette compotée. Arroser de jus de citron. Enfourner et cuire 40 min (th 180°). Servir chaud,  tiède ou froid.

    Plats

    Keftedes ( beignets) aux courgettes et feta

    Plats

    Pitarakia boulettes de légumes frits avec feta

    Plats

       
       

     

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  • Voici quelques uns des plats dégustés lors de notre séjour avec si possible le nom grec, une description des ingrédients et pourquoi pas une recette expérimentée  depuis mon retour.

     

    Gouvetsi : petites pâtes avec viande tomates ...

    Plats  (2)

    Papoutsakia : aubergines, viande hachée, béchamel

    Plats  (2)

    Moussaka

    Voici la recette que j'utilise, beaucoup plus légère que la recette traditionnelle (pas de béchamel et je ne fais pas frire les aubergines)

    • 350 g de boeuf haché
    • 3 aubergines de taille moyenne
    •  3 grosses tomate
    • 35 g de concentré de tomates
    • 1 gros oignon haché
    • 1 gousse d'ail hachée
    • 50 cl de crème fraiche 
    • 1 petite poignée de gruyère râpé
    • menthe, persil
    • cannelle ou cumin
    • huile d'olive
    • sel et poivre

      Lavez les aubergines, enlevez leur pédoncule, et coupez-les en tranches dans le sens de la longueur (1 cm d'épaisseur). Placez-les sur une plaque de four, avec un papier cuisson, badigeonnez-les d'huile d'olive au pinceau, salez et poivrez  et les laisser sous le grill une dizaine de minute par face en surveillant qu'elles ne brûlent pas ni ne sèchent de trop.

    Dans une grande cocotte,faites revenir l'oignon et l'ail hachés à feu moyen. Lorsqu'ils sont translucides, ajoutez les tomates, le concentré, le persil, la menthe et le cumin ou la cannelle. Salez et poivrez à votre convenance.

    Laissez mijoter pendant 20 minutes à couvert, puis 5 minutes à découvert. Vous pouvez continuer vos fournées d'aubergines pendant que la sauce mijote. Ajoutez le boeuf haché dans la sauce, remuez et laissez cuire encore 5 minutes.

    Dans un grand plat à gratin, mettez une couche d'aubergines grillées sur le fond, de la viande en sauce par-dessus, une deuxième couche d'aubergines, puis une deuxième couche de viande. Terminez par une couche d'aubergines. Versez sur l'ensemble la crème fraîche et parsemez d'un peu de gruyère râpé.

    Enfournez à 210°C (thermostat 7) pendant 20 minutes.

     

    Plats  (2)

    Pasticcio : gratin pâtes / viande hachée/ béchamel

    Plats  (2)

    Poissons, crustacés pour 2 personnes

    Plats  (2)

    Plat de viande grillée pour 2 personnes

    Plats  (2)

    Plats  (2)

    Plats  (2)

    Mezzés

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    À travers l’histoire de Dimitris et Katerina, on découvre les quartiers populaires de Thessalonique, depuis le début du XXe siècle sous l’empire ottoman jusqu’à nos jours en Grèce, en passant par les guerres balkaniques, la Seconde Guerre mondiale, la guerre civile puis la guerre froide.

    Ce roman m’a fait découvrir tout un pan de l’histoire méditerranéenne que j’ignorais.
    Victoria Hislop utilise l’histoire d’une famille pour plonger dans l’histoire de la Grèce contemporaine.

    On fait connaissance avec la petite Katerina (6 ans) fuyant les massacres de Smyrne comme tant d’autres grecs d’Asie Mineure séparée de sa maman  dans la confusion au moment d’embarquer. Elle est alors recueillie par une mère de deux jumelles d’une dizaine d’années. On les suit d’abord à Lesbos puis à Thessalonique à travers les rues encombrées de réfugiés. Le livre raconte son histoire, mais aussi celles d’habitants de Thessalonique : Dimitris, fils d’un riche négociant en tissu né le jour du grand incendie qui détruisit une bonne partie de la ville, mais aussi ces familles musulmanes et juives qui vivaient alors en bonne entente .

    Certains hommes d’affaires (notamment le père de Dimitris ) sont particulièrement antipathiques faisant passer leurs intérêts personnels avant tout, recherchant toujours et toujours plus de profits et approuvant les atrocités perpétrées entre autres par le régime nazi et par les différentes dictatures grecques.

    Par contre, d’autres comme ces jeunes qui n’ont pas hésité à prendre les armes nous rendent admiratifs

    Le sort de  la communauté juive de toute la ville de Thessalonique regroupée  dans le ghetto puis dans les trains en partance vers la Pologne ne peut que nous émouvoir.

    On ne peut s’empêcher de penser à la Grèce d’aujourd’hui, aux réfugiés actuels et au monde en général et de se dire que décidément, non, rien n’a changé !

    Le fil des souvenirs  Victoria Hislop

     

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